En attente de greffe, je respirais avec un ventimask collé au visage 24 heures par jour. Sans oxygène, je ne pouvais survivre.
Le combat
Je respirais à l'aide d'un bipap 23 heures par jour car je n'arrivais plus à inspirer suffisament d'air par moi-même. Chaque souffle était un combat.
L'appel
J'ai reçu l'appel du Dr.Ferraro le 11 avril 2004 pour m'apprendre que j'allais recevoir de nouveaux poumons dans les heures suivantes. Enfin, je pouvais espérer vivre à nouveau..
La greffe
Le chemin vers l'hôpital Notre-Dame en ambulance s'est passé comme un rêve éveillé. Je fermais les yeux et remerciais ce donneur qui venait de me sauver la vie.
L'après greffe
Je suis sorti d'hôpital 17 jours après ma transplantation et j'en ai profité pour visiter ma famille, respirer l'air frais du nord, et traverser un lac à la nage, pourquoi pas?
La vie
Merci à tous les donneurs de leur générosité sans mesure. Au nom de la vie, MERCI!
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